La ville s’incarne d’elle-même. Elle insuffle des possibilités d’être, inspire des trajectoires guidées par l’émanation de ses symboles, la mémoire de ses rues. Chacune d’elle illustre une manière d’habiter l’atmosphère, de circuler, de consommer. Une matière vive. Elle érige un cadre, instaure des habitudes. Derrière la façade s’imbriquent des métiers qui, de jour comme de nuit, perpétuent l’imaginaire, lui donnent corps et le renouvellent.